LIEN TEST: ETES-VOUS HEUREUX AU TRAVAIL?

70% des français se disent ne pas être heureux dans leur travail, et pourtant 70% ne le quitteraient pas. N’est-ce pas incohérent quelque part??

Est-on à ce point prisonnier de notre condition professionnelle? Attaché à notre petit confort? Soumis à une fatalité? Terrorisé de l’inconnu à tel point que nous préférons nous satisfaire d’une vie médiocre?… Tout cela me chamboule un peu pour le monde en général, mais en particulier pour les français. Nous sommes beaucoup moins flexibles professionnellement et avons le culte du CDI et des sécurités de l’emploi, sociales, à tel point que nous n’entreprenons plus de manière efficace. Nous avons peur du risque alors que c’est lui qui fait que des start-up percent les plafonds, que les entreprises  montent en flèche. Il y a les idées géniales… mais quelque part, tout le monde en a, au chaud dans son salon. Mais ce qui fait vraiment la différence, c’est la prise de risque!

Dès l’école primaire, les petits français ont appris que l’échec, ce n’est pas bien! Et adultes, nous sommes effrayés par faire un pas de travers à tel point que nous restons figés. Changeons l’approche, adoptons un autre point de vue! Tant de philosophes depuis des lustres nous ont dit que c’est en tombant qu’on se relève plus fort, que l’échec n’est pas une erreur mais une manière d’apprendre un peu plus, c’est le succès de la découverte d’une « autre façon que cela ne marche pas », ou encore qu’on ne perd jamais: soit on gagne, soit on apprend. Je souhaite de tout mon cœur que les jeunes français de la prochaine génération s’imbibent de cette philosophie, comme dans les pays anglo-saxons, et célèbrent leurs succès… comme leurs échecs, pour ne plus avoir peur d’avancer! Et notre pays redeviendra grand.

Mais reparlons de vous!

Où en êtes-vous? Faites-vous parti de ces gens qui ne se posent même pas la question d’être heureux au travail, car c’est un luxe qu’on ne peux pas vouloir se permettre (je n’ai pas parlé du passif judéo-chrétien qui n’arrange pas l’affaire, et nous fait culpabiliser pour le moindre plaisir)?

Si oui, faites-vous parti de ces gens qui  rentrent du travail lessivés, qui n’arrivent pas à décrocher pour profiter de la vie de famille ou qui s’énervent vite, qui ont du mal à se réveiller pour enchaîner une nouvelle journée de travail, qui ruminent les relations de travail ou les échéances difficiles à tenir?

Avez-vous des petits signaux de votre corps comme de la fatigue, de la somnolence, mal au dos, et encore mal au dos, une boule dans le ventre, une boule dans la gorge, des sueurs ou les mains moites, des maux de têtes, des troubles de la vision, les jambes qui flagellent, des cauchemars ou nuits agitées, les dents qui grincent et mal aux mâchoires le matin, des apnées du sommeil ou des insomnies, une hypersensibilité au bruit ou des acouphènes…

Si rapidement vous faites une balance entre votre niveau de bonheur au travail et votre niveau de bonheur général, voyez-vous quelque chose?

Vous n’avez pas conscience de ce niveau? J’ai un outil pour vous:

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